Cap Festival 2008
21 juin 200814ème CAP FESTIVAL « L’événement cultures » LACLAU (commune de Vezins-de-Lévézou). Au programme : Annie Cordy, Thomas Dutronc, Dub Inc., Hocus Pocus, La Chanson du Dimanche et bien d’autres…
08, 09 et 10 Août 2008
Cette année « Cap Festival » fête ses quatorze ans et poursuit sur la voie empruntée depuis sa création. Pour cette troisième année à Laclau, le festival maintient sa ligne artistique mélangeant avec bonheur musiques du monde, musiques actuelles et animations de rue.
Le quatorzième Cap Festival oriente sa programmation à la fois vers des artistes habitués des festivals mais aussi vers des artistes renommés avec un répertoire riche et varié tant sur le plan musical que humain. Cette programmation régalera bien sur, les adeptes des festivals, mais permettra aussi à un large public d’apprécier des artistes connus et reconnus n’ayant pas fait forcément le choix de médiatiser leurs concerts. Ainsi, ce sera plus de 15 concerts que tout un chacun aura libre cours à découvrir ou de redécouvrir dans une ambiance à la fois conviviale et chaleureuse.
Occasion de rencontres intergénérationnelles et interculturelles, « Cap Festival » remplit à merveille ses objectifs et insuffle une dynamique indéniable aux villages qui l’ont accueilli au fil du temps. Cela en fait un festival à taille humaine au milieu des champs… Pour le plus grand bonheur du public !
TARIFS :
- Vendredi : 18 € en pré vente 23 € sur place
- Samedi : 18 € en pré vente 23 € sur place
- Dimanche : Concert Annie Cordy : 20 € en pré vente 23 € sur place
- Soirée du Dimanche : entrées Libres
- Spécial PASS : 34 €
- Gratuit – de 12 ans.
POINTS DE VENTE :
Locations : Fnac – Carrefour – 0 892 68 36 22 (0,34€ TTC/min) – www.fnac. com Réseau Tickenet : Auchan – E.Leclerc – Cora – Cultura – Virgin Megastore – www.ticketnet.fr0 892 390 100 (0,34€ TTC/min)
Et sur www.cap-festival.com
Albi : Harmonia Mundi / Figeac : Au Joyeux Fa Dièse* / Bozouls : P.I.J Point Emploi*Onet le château : P.I.J* / Rodez : Espace culturel Leclerc – Au Joyeux Fa Dièse* – Madison Millau : CREA-MJC – Music Son* / Séverac le Château : Café des Remparts* Vezins : Boulangerie Colonges* / Villefranche De Rouergue : P.I.J sans majoration. Par courrier avec enveloppe timbrée pour le retour à l’adresse de l’association, chèque à l’ordre de : Association Boulègue en Lévézou.
Vendredi 8 aout
La CHANSON du DIMANCHE
«Salut, c’est la chanson du dimanche. La pêche !» C’est par cette phrase que commencent toutes les vidéos de deux loustics aux faux airs de Devendra Banhart et Edouard Baer qui cartonnent sur la toile française depuis quelques mois. Le principe est simple: une chanson en vidéo est diffusée chaque dimanche matin, sur tous les outils possibles et imaginables du Net (leur page Myspace, leur site officiel, leur blog ainsi que sur Dailymotion et YouTube). «Le dimanche, c’est un jour particulier, puisqu’en général, il ne se passe pas grand-chose, raconte le duo composé d’Alexandre Castagnetti, 32 ans, patron d’un bar à Paris et de Clément Marchand, 31 ans, professeur de maths. Pour certains, on a un peu remplacé la messe car on leur apporte la bonne parole.» Une «bonne parole» faite de phrases potaches, de rimes, de rires à peine étouffés, de décors en milieu «naturel» et de thèmes souvent d’actualité (la grève dans «Petit cheminot» – vu plus de 260.000 fois rien que sur Dailymotion, le pouvoir d’achat dans «Super pouvoir d’achat» ou encore le président de la République et la ministre de la Justice dans «Nicolas et Rachida »). «On compose au dernier moment, juste avant le tournage », expliquent les musiciens. «Du coup, j’ai parfois un peu de mal à me souvenir des paroles», reconnaît l’un. «Oui, mais il y a un effet de fraîcheur de la chanson que l’on ne connaît pas nous-mêmes», se marre l’autre.
HOCUS POCUS
Le groupe nantais Hocus Pocus fait figure d’OVNI dans le paysage hip hop actuel : composé de cinq membres dont le talentueux producteur, MC et DJ 20Syl, leur musique intègre de véritables instruments (basse, batterie, Fender Rhodes…). Hocus Pocus mêle ainsi les éléments propres au hip hop (scratchs, samples, rap) à un son instrumental influencé par le jazz, la soul et le funk. Le groupe véhicule un état d’esprit positif, loin des sentiers battus du rap français. L’écriture de 20Syl, teintée d’humour et d’ironie, est en parfaite harmonie avec les instrumentaux chaleureux et efficaces servis en live par les musiciens. Cette formule permet de laisser une place appréciable à l’improvisation sur scène. L’alchimie entre le flow limpide, parfois chantant, du MC et les instruments assure une cohérence à l’ensemble. La complémentarité du Dj et de ses deux platines avec les autres instruments est totale, Dj Greem enchaîne des scratches variés : sons de flûte, voix soul, saxophone ou autres cuivres. Avec 20Syl en chef d’orchestre, leurs performances live constituent de véritables shows dans lesquels les instruments classiques répondent aux platines et vice-versa… Hocus Pocus est un groupe de scène qui ne passe pas inaperçu puisqu’il compte à son actif plus de 130 dates depuis 2002, dans toute la France ainsi qu’en Europe (Angleterre, Suisse, Belgique, et même à Prague). Ils se sont produits lors d’évènements aussi prestigieux que le Printemps de Bourges (Découverte du Printemps de Bourges et de la Fnac 2002), le Festival des Vieilles Charrues (éditions 2002 et 2003), les Transmusicales ou encore les Francofolies.En plus d’un parcours ponctué de maxis vinyls percuants (« Malade », « Conscient »), ils ont sorti en 2002 un mini-album intitulé « Acoustic Hip Hop Quintet – 3 » qui a reçu un accueil élogieux tant de la part de la critique que du public et qui a ainsi contribué à installer le nom Hocus Pocus. Premier album long format d’Hocus Pocus, « 73 Touches » vient confirmer tous les espoirs placés dans le groupe. Les compositions et les textes de 20syl reflètent une incontestable maturité artistique. La diversité des thèmes abordés et des atmosphères sonores représentées sur l’album font de ce premier album un coup de maître qui devrait faire date dans l’histoire du hip hop français.
COMODORE 64
Comodor 64, c’est un histoire simple. Une histoire d’histoires, d’écriture, de rencontres humaines. Une histoire personnelle qui devient commune. Une histoire qui s’écoute et se réfléchit. Une histoire qui tend à prouver qu’il n’est pas nécessaire d’être né Outre-Manche pour susciter l’intérêt des enfants du rock, de la pop et de l’électro. Une histoire de gosses trentenaires qui restent éperdument dévoués à leurs instruments, quoiqu’on en pense. Une histoire de chant et de sons, histoire de chansons qui se répètent… comme l’histoire… C’est en mars 2005 que se forme le groupe autour de quatre musiciens au parcours bien rempli. Influencés tous azimuth par plus de 5 décennies de rock (au sens le plus large du terme), Comodor64 triture, traffique, organise, réinvente, dissèque, une palette sonore aussi large qu’eclectique, aussi vivante qu’électrique. Parmi la multitude d’artistes auxquel le groupe fut comparé citons en vrac Massive Attack, Girls Against Boys, Kas Product, The Cure, Elysean Fields, Soulwax, Morcheeba, Portishead, Sia Furler ou encore Tricky (qui a d’ailleurs invité KatCross, clavier des C 64, sur sa compilation Back to mine). Guitares délicates et cannibales, basse tourbillonnante et hypnotique, rythmiques électro riches et colorées, mélodies vocales subtiles et déchirantes, les extrêmes sont cultivés ici avec force, précision et harmonie. Il en résulte un électro-rock écorché vif, teinté de trip hop ambiant, de pop scintillante et de noise énergique.
DUB INC.
Une histoire qui en rappelle d’autres, vécues par de nombreux groupes eux aussi : celle d’amis réunis autour d’une passion commune, la musique. Les origines et les influences musicales de chacun des membres du groupe sont riches et variées, et c’est ce qui fait toute la singularité de leur musique. Bien que l’étiquette « reggae français » soit communément utilisée pour qualifier Dub Inc, le raccourci peut paraître facile et pas totalement adapté à leur musique, dont on sent rapidement ressortir les influences orientales, Hip Hop… Très rapidement, l’envie germe d’aller plus loin et de mettre leurs morceaux sur disque, 2 maxis CD en résultent : Novembre 1999 verra ainsi la sortie de Dub Incorporation 1.1 et en juin 2001 celle de Version 1.2. Au fil des mois, le groupe se professionnalise, les concerts se multiplient et l’engouement dans leur région (SaintÉtienne) ne cesse de prendre de l’ampleur. Leur nouvelle étape dans le monde musical : le long format. En septembre 2003, le premier album du groupe, Diversité (pour la première fois le groupe est distribué nationalement). S’ensuit un travail promotionnel de fourmi, au travers de réseaux de médias indépendants et locaux autour des dates de concerts. Leur notoriété s’envole, les concerts se jouent à guichets fermés et les ventes décollent elles aussi. La reconnaissance arrive aussi du côté des professionnels. DUB INC est lauréate du FAIR 2004, ce qui a pour effet d’accélérer les choses sur tous les plans, et notamment la collaboration avec une agence de booking A GAUCHE DE LA LUNE. En août 2005 le second album Dans le Décor a vu le jour, et a bénéficié d’une sortie de plus grande envergure, les tournées s’enchainent le nom de DUB INC commence à dépasser les frontières (Allemagne, Portugal, Italie, Espagne, Grèce, Maroc…). La notoriété du groupe ne cesse de grossir, le public est de plus en plus présents sur les dates de concerts, la capacité des salles de concerts évoluent aussi en conséquence. La suite logique arrive en octobre 2006, lorsque le groupe sort son premier album Live (Cd/Dvd) enregistré pendant la tournée des festivals de l’été 2006. L’expérience et le temps passé sur la route (avec toutes ses rencontres…), a fais naître chez les artistes de nouvelles envies et sensibilités artistiques pour la suite. Ils s’empressent donc de repartir sur un nouveau projet, totalement réalisé et produit au MCB studio à Saint Etienne. Six mois d’élaboration aura permis au groupe de donner vie à Afrikya, le 3ème opus du groupe (sortie le 6 mai 2008), les tournées se mettent en place, les salles se remplissent… L’histoire continue…
CelluleX
Telle une grosse blague romantico-démagogique, c’est lors de la Fête de la Musique 1999 que Cellule X entame sa gestation. De cette rencontre entre musiciens, et après un long temps de préparation et de mutations, le style prend corps, avec des influences rock, rap, punk, électro et tous leurs métissages dérivés. Les membres embryonnaires s’enrichissent fin 2002 avec l’insémination d’un vidéaste dans le groupe. Cellule X est né Dès lors en octobre 2003, au travers de son premier album « X-Pressions » (totalement autoproduit et auto distribué : un millier d’album vendus), Cellule X observe la France, vise l’Etat, ses institutions et ses dérives, et appuie finalement sur la gâchette lors de sa première véritable scène au festival des « Expressifs ». Le groupe enchaîne alors régulièrement les concerts entre rue, squats, salles et festivals. Par la suite, en mars 2004, l’une des chansons, Trepalium, intègre le coffret du DVD de « Attention Danger Travail » de P. Carles et S. Goxe. Dès juillet 2004, le groupe ouvre le festival de Solidays (Paris), participe aux Chantier des Francos, et sillonne les scènes hexagonales tout en apparaissant sur plusieurs compilations, notamment celle du label FZM : Zone 1 «L’Esprit de Résistance», en juin 2005. De Brest (festival Astropolis – août 2005) à Paris (Maroquinerie – juin 2006, New Morning – avril 2007) en passant par Turin, Bruxelles et prochainement en Allemagne, en Suisse et au Luxembourg (112 à Terville), Cellule X prend la scène d’assaut parfois aux côtés de quelques grands noms de la scène alternative, punk et électro : Enhancer (Niort), La Rumeur (Aubagne), La Phaze (Benassay et Briouze), Bérurier Noir (Astropolis, Lillers, Paris…), Fermin Muguruza (Paris), ) La Caution (octobre 2007 à Anglet, pays Basque). Janvier 2007, Cellule X inaugure avec fracas la nouvelle collection du label FZM dans un format inhabituel. Avec son 1er minimaxi titré « Biz must go on », le groupe marque un pas de plus dans la mise en pratique du fameux « Autonomes, Indépendants et Fiers de l’être » qui résonne sur le titre éponyme. Cette dernière production donne un avant goût de ce vers quoi Cellule X tend aujourd’hui, et permettra d’assurer la transition entre le « Cellule X d’X-Pressions » et le Cellule X du maintenant très attendu second album. Plus rock, plus électronique, plus sombre, plus déjanté et bien plus mature dans ses propos et compositions, le second album a de forte chance d’être encore plus apprécié par les fans de la première heure et attirer un bon nombre de nouveaux adeptes. Par ailleurs, des apparitions éclaires de quelques agités du bocal (Stupeflip, Bérus…) viendront parfaire ce second opus qui verra le jour à la rentrée 2008.
Dj Pushit
Dj producteur et activiste de la scène Toulousaine, Pushit lance le projet soundaddicta en 1999 : live électro dub ,drum and bass . Propulsé sur le devant de la scène, il joue autant pour des évènements ‘electro’ qu ‘en première partie de grands groupes de la scène dub française et internationale tels que : High Tone, Uroy, Zenzile, Improvisators Dub…. En 2002, il autoproduit son premier album ‘:futur dub sound’,tout en poursuivant le mix et la production. Il organise de nombreuses soirées dans la ville de Toulouse .D’origine Russe Espagnol, il se passionne pour les musiques étniques et traditionnelles, naturellement il se tourne vers le style balkan beats et s’associe au collectif ‘kumpania beats’. Il délivre alors des sets fusionnants entre: , dub , gypsy music, balkan beats et autres fusions d’europe de l’est, le tout accompagné de ses propres compositions. Il partage dès lors l’affiche avec des groupes comme :
Emir kusturika, Besho drom, Norig, Odjila, Mongo
gadzi, Traio romano ,Anakronik éléctro orchestra , la roulotte, La fanfare p4, Vrack, Rodinka ….
Samedi 9 aout
Carmen Maria Véga
Carmen Maria Vega va bien ! Merci. Elle est toujours misogyne, contestataire, et assaillie de soucis insurmontables. Au Centre, elle a fait de sympathiques rencontres cette année. Un pauvre gars qui ne comprend rien à rien, une mythomane qui prend plein de médicaments, ou un cuistot éconduit et furieux. Alors elle nous raconte, dans son réjouissant spectacle, leurs histoires à chacun avec réalisme et humour. A travers eux, c’est aussi sa vie qu’elle dévoile et dans son univers de folie douce, on aborde avec légèreté des thèmes même pas marrants. Accompagnés par un duo acoustique tout en cordes, les textes swinguent, et font taper dans les mains, à condition d’avoir ôter sa camisole.
Thomas Dutronc
Bonjour. Vous savez quoi ? Personne n’est parfait. THOMAS DUTRONC qui est musicien, eh oui, le sait bien, et à 34 ans, se fend d’un premier album. Les biographies d’artistes, on connaît. Plus c’est « Cosette Tirejus » ou « Je-suis-né-dans-la-Rue », plus ça fait joli. Avec Thomas, ça ne va pas être possible. Il ne lit pas plus dans les étoiles qu’il ne fume de gros cigares, mais son truc tabou, son message personnel vous sautent au visage dès le premier abord. Une main fine et ferme, deux grands yeux bleus espiègles, pas de quoi se vanter ! Ni se plaindre, d’ailleurs… Donc, de lui, on sait déjà ça. Et, plus vaguement, qu’il donne dans la musique ou sur les bords. Erreur ! Pas vaguement, encore moins sur les bords : carrément par les chemins de traverse. La zique, Thomas s’est faufilé entre ses gouttes tant bien que mal jusqu’à 17 ans, mais à 18, bac en poche et fac d’art en cours, elle lui a brusquement fondu dessus en formidables bourrasques. Pas de celles qui viennent par vent d’ouest en vagues pop ou rock, non, lui, c’est de plus loin vers l’est et dans le temps que ça lui vient : des roulottes Rom et des campements sauvages tout fumant de jazz manouche ! Une vraie conversion, doublée d’une longue, humble et patiente initiation… Bref, en quelques années de totale immersion, Thomas ne vit plus qu’en maltraitant dans l’allégresse ses malheureux dix doigts (moins un, qui reste obstinément en l’air, sans doute par esprit de contradiction) sur les cascades de notes brûlantes jadis déversées sur une planète blême d’ébahissement par un Django Reinhardt aussi désinvolte qu’intouchable. Vous parlez d’une ascèse dans un monde formaté à la minute de vide vendue au kilo de pub ! Mais Thomas n’en a cure. Tout à la fois la proie et l’aiguillon de sa passion, il va son chemin, gagne ses galons et le respect de ses rudes pairs (tel Bireli Lagrene, qui est à Django ce que Stevie Ray Vaughan est à Jimi Hendrix, excusez du peu !) au fil d’un itinéraire à cloche-pied borné par les bistros d’apaches et force détours partout où les combats de coqs se règlent Et quand Thomas ne joue pas à perdre haleine avec ses amis manouches, il bricole des chansons avec ses copains d’enfance, parce ça le travaille aussi, évidemment. Et petit à petit, les expériences acquises et les rencontres de hasard aidant, tout ça le mène vers un spectacle fait de pans de rêves éparpillés, de sketches foutraques, de bouts de ficelles incandescentes et, surtout, surtout, de fraternelle créativité : « THOMAS DUTRONC et les ESPRITS MANOUCHES »… Au départ, le disque n’existait même pas à l’état de projet secret : c’était juste qu’à un moment, il faut bien faire entendre des bouts de ce qu’on mitonne aux gens que ça concerne… Et comme de bout en bout, le temps a passé, et que 75 représentations de plus en plus torrides en deux ans l’ont comblé, ce qui n’était que grappes de samples et d’extraits est devenu le disque que voila, et qui ne ressemble à rien de connu ou d’identifiable de ce côté ci de la musique populaire : un camaïeu incroyablement dense d’instrumentaux bouillants et de chansons libre-songeuses , comme tombé du ciel avec une grâce d’acrobate, absolument dévolu à l’ardente fantaisie, à la folie douce d’un artiste au faux air de jeune homme sage mais aux charmes méga frappeurs : THOMAS DUTRONC…
La CHOSE
Prenez une pincée de hip hop, Versez un soupçon de jazz, Ajoutez un zest de reggae, de blues, de soul et d’électro, Incorporez des textes engagés, Arrosez d’une grosse dose de vibes, Mélangez… Vous obtenez La Chose !!! 2007 marquera la naissance du groupe. Après plusieurs années de collaboration artistique Fred, guitariste aux multiples influences (blues, jazz…) et Féfé, artiste issue de la scène hiphop (mc du Sanctuaire), se retrouvent autour d’une même idée : mélanger les styles et les univers pour faire une musique qui leur ressemble ; simple, live, et sans étiquettes. La sauce prend vite et la chose a faim de scène, c’est l’heure des premières représentations. Le duo deviendra vite un trio avec l’arrivée de Liljems, DJ également issu de la scène Hip Hop. Il adaptera son jeu afin de contribuer à l’évolution du groupe. Fin 2007, « La Chose » sort son premier E.P. 5 titres.
SHANTEL
DJ Shantel a commencé sa révolution de style après un voyage au Bucovina, une région à la frontière entre la Roumanie et l’Ukraine d’où sa famille maternelle est originaire. Shantel produit un tout nouveau son, mariant la haute technologie à la magie de l’Europe de l’Est, sans tomber dans la musique cliché typique. Avec son heady mix de balkan beats, son gypsygrooves, son freestyle électronique ou son disco russe, ce producteur et musicien multi-facettes a été sacré « roi du dancefloor des Balkan ». A cela s’ajoute un mélange sans égal de romance, de passion, de feu et d’anarchie qui fait de Shantel et du Club Bucovina, un des concepts musicaux les plus festifs et les plus prometteur du moment. Ce nouveau Shantel doté d’un fabuleux et trépidant orchestre rassemble toutes les scènes, toutes tranches d’âge, toutes nationalités confondues. Il est aussi le gagnant du BBC Award 2006 et numéro 1 du World Music Charts Europe. Pour le Disko Partizani Tour 2007, la performance de Shantel produit une euphorie pure et brute. Alors levons nous de notre sofa, faites péter la vodka et que la partie commence
doMb
doMb, c’est depuis février 2001 quatre gentils furieux… et pleins d’instruments du monde entier de la terre (didjeridoo, sitar, berimbau, guitares 3 et 6 cordes, flûtes…). Férus de gros rythmes denses, doMb c’est du GROS SON percussif (batterie, bidons, djembé, dunumba, fût brésilien…) le tout orchestré par une basse complètement déjantée… Des textes inspirés de différents dialectes (dont le français), nous plongent dans une atmosphère parfois féerique, souvent ludique, toujours explosive ! doMb est une invitation au voyage, un véritable cirque instrumental, un tohu-bohu ethnique, toujours surprenant, le tout dans un joyeux bordel, au milieu des bidons… Une musique venue de nulle part et partout à la fois : Afrique, Australie, Inde, Brésil, Maghreb, interprétée live par quatre blancs becs de la région parisienne. Au détour des festivals, des rues, des rades et jusque dans les buvettes, doMb c’est plus de 300 concerts en cinq ans avec La Ruda, Improvisator Dub, Mister Gang, JMPZ, La Phaze, Java, Lab°, Les Fils de Teuhpu, Kaophonic Tribu, Watcha, Lofofora, Babylon Circus, Guem, Sinsemilia, Les Tambours du Bronx, Les Wampas… Bref, c’est sur le terrain et par la scène que doMb existe, et pour se faire un p’tit nom, faut en faire des tours de piste… La réaction du public est surprenante et encourageante, il s’éclate, doMb aussi !! doMb… c’est aussi : – un EP 4 titres » live » écoulé à 4000 exemplaires, et qui a su attirer l’attention de la presse spé : « Tout simplement gravissime… » (Rage Mag), « Un véritable ovni… » pour Rock Mag, ou qui « donne envie de rentrer dans la danse… » pour Rock & Folk… – Diverses compilations : « Tribal Drum Conspiration » (Follow Me Records / Nocturne, 2006), « Rock’n’Roll Energy Drink » (Follow Me Records / Nocturne, 2007), « Electrons Libres » (prod. Vacarm.net, fin 2007) – Premier album en septembre 2007 : « Pamalalarache », 14 titres, mixé par Stéphane Buriez (Loudblast, Black Bomb A, etc.) au Studio+9 (Paris), masterisé à La Source. Distribution Rue Stendhal.
Dj Kaldosh
Originaire du sud ouest de la france, cet artiste de 28 ans débute le Djing en 1999. Rapidement il fait ses premiers mixs en free partie, puis organise en 2000 ses premières soirées drum’n bass en région tarnaise. En peu de temps il fait ses débuts sur la scène Toulousaine en imposant ses mix drum’n bass hors norme, mélange de liquidfunk, de jump-up et de techs-tep. En 2005 il fonde un studio d’enregistrement associatif à St-Juery dans le tarn(http://www.asso-bouge. com/), et s’initie depuis lors à la production et bien d’autres choses encore. Deux ans plus tard il réalise une série de productions drum’n bass balkaniques ou il revisite et remixe les grands classiques du genre tel les yeux noirs, django reinardht boban markovic et bien d’autres encore… Il a participé à deux nombreux évènements aux cotés d’artistes tels que: Les Têtes raides, Java, Lojo, Magid Cherfi, Besh-o- Drom TTC, Interlope, 69db, Gravebongaz, Jamalski, Simon Bassline Smith…
Dimanche 10 aout
Annie Cordy
Meneuse de revue, chanteuse, comédienne, drôle voire délirante, tendre, émouvante, toujours surprenante, Annie Cordy aborde avec le même bonheur tous les registres. Avec sa générosité, son punch et son enthousiasme, elle vit avec son public une merveilleuse histoire d’amour…
Dr TROLL
Les Flibustiers de la Raison sont heureux de vous présenter leur nouvelle création. Le magicien Dr Troll et le musicien Antibiotik ont mit en commun leurs talents pour un spectacle original drôle et poétique. L’objectif est de fusionner l’electro jazz hip hop à des numéros de magie visuel. Une première trame de 30 minutes vous est proposée avant la mise en place, dans quelques mois du spectacle entier. Sortir la magie de ses sentiers battus, et apporter du visuel a une prestation musicale, voilà la mission de nos flibustiers.
Spi et la Gaudriole
Spi, alias Jean Michel Poisson, (on ne se lassera jamais de le rappeler : ex-chanteur et parolier de OTH et des Naufragés), avait encore surpris son monde en présentant en 2004 son nouveau groupe : La Gaudriole. Toujours à la recherche de l’authenticité, Spi avait rencontré et découvert (en 2002) les musiques et danses traditionnelles occitanes et avec elles la convivialité et la « révolte » qu’on croyait disparues, voire exclusivement préservées dans quelques Raves et leurs sabbats modernes. Festive, délurée, envoutante, la musique « tribale » occitane lui apporte un nouveau souffle. Il y retrouve l’énergie du rock originel mélée à l’esprit « convivencia » des troubadours d’antan, et y découvre la force de la Danse. Les danses (collectives ou de couple) sont indissociables de la Gaudriole : chapelloise, cercle ou mazurka, bourrée…, chaque morceau en est un support. La Danse est un des moyens d’émancipation individuelle et est facteur de cohésion, sociale ou tribale. L’énergie du groupe et le charisme de Spi enivrent à toutes leurs apparitions. Des grandes fêtes populaires aux simples événements (Trad ou autres), le public danse, festoie, se rencontre. Car ce sont dans ces « concerts » atypiques devenus Balétis où scène et salle se mêlent dans une même lumière que Spi et La Gaudriole se sentent le plus à l’aise pour faire retrouver au public l’instinct de la danse, de la fête et de la convivialité. Avec 4 années de tournées, de bals et d’enregistrements (Spi a enregistré entre autres, Tralala, Coriandre…………..) le Son de La Gaudriole s’est affirmé. Certaines influences ont été digérées, d’autres ont encore enrichi l’inspiration. Spi est accompagné de son indispensable âme damnée : l’insatiable conteur Bruno Priez à la vielle à roue grinçante et indomptable ; de la batterie tribale et sonore de Rodolphe Giraldi, des guitares acoustiques puissantes de Michel Dominguez, et d’Isabelle Garcia « la lionne catalane » aux instruments à vent typiques et braillards (gralla, flaviol, tarota). La Gaudriole a trouvé la profondeur et la richesse de son Son, « trad » pour les uns, « trad-rock » pour les autres. La Gaudriole peut jouer en baléti, avec un Son plus soft, plus acoustique, et aussi en concert dit « rock » avec des versions plus musclées et électriques. « Comme en Afrique, en Inde ou en Bretagne, il est temps que nos tribus montent sur scène et proclament que, ici comme ailleurs, tradition et évolution ne font qu’un ».
SAMBA RESILLE
Qui sommes nous ? Développée autour de la pratique amateur de la musique brésilienne, l’association Samba Résille s’attache à la rendre accessibles aux publics les plus divers. Ce collectif oeuvre dans sa ville, dans son quartier et organise ses actions à partir de sa quadra : le Centre d’Initiative Culturelle et Citoyenne (CICC), une maison de la Samba à la française. Samba Résille agit pour répondre aux actions et objectifs suivants : · accompagner et développer les pratiques en amateur : résidences permanentes de la Troupe Samba Résille et d’une troupe de théâtre de rue, la formule MADJ, mise en place de cours et ateliers de percussions (brésiliennes, orientales, africaines), accueil de musiciens en résidence temporaire et expositions de plasticiens. · développer des actions d’éducation artistique et de médiation culturelle en direction de tous publics, milieu scolaire et extrascolaire, publics en difficultés sociales, physiques et autres dans un souci d’accès à la culture pour tous. · proposer des actions de formation. · travailler en réseau. Batucada Si ! Composée d’une trentaine de percussionnistes, la troupe propose des animations de rue et des spectacles sur scène bourrés d’énergie. Sur des rythmes principalement issus de la tradition populaire du Brésil (samba carioca, samba reggae, samba funk, baião…), le public se voit emporté dans la frénésie de la batterie et la joie de bouger en cadence.
The PEPPER POTS
The Pepper Pots se sont formés en 2002 avec le but de nous faire revivre le son et le modèle jamaïcain des années 60 qui faisaient vibrer les pistes de danse de cette époque. Après 2 ans d’existence, ils ont décidé d’enregistrer leur premier album, “Swingin Sixties”, par le label basque Brixton Records; un disque de 12 titres avec la collaboration du chanteur londonien Ben Jamin, distribué au niveau européen, où ils rendent compte de leurs ambitions musicales, en démontrant que bien que vivant en des temps de standardisation musicale, un retour à la simplicité et à la fraîcheur d’un son plus classique est possible. Quelques mois plus tard, sort une réédition de cet album et un E.P. au Japon pour la distro nippone Ska in The World . Dans cette réédition japonaise, sont inclus 2 titres inédits où participe le « Rocksteady » Freddie Reiter, leader et saxophoniste du groupe new-yorkais NYSJE. Ce n’est qu’à partir de 2006, que le groupe fera l’important saut de sa carrière, en participant à plusieurs compilations, offrant une quarantaine de concerts tout au long de l’année, et en ayant partagé des scènes avec des artistes aussi renommés que Laurel Aitken, Derrick Morgan, Dave Barker, Winston Francis, The Aggrolites, Mr T-Bone, Dr Ring Ding, Macka-B, The Toasters, NYSJE, Ki-Mani Marley… et en mettant en place une tournée en solitaire via plusieurs festivals de grandes villes européennes comme Bruxelles, Neuchâtel,Prague… The Pepper Pots commence l’année 2007 avec leur second album Shake it! où l’on retrouve toute leur expérience accumulée et leur ressentis pour la musique noire de cette époque. Ce disque édité et distribué par Brixton Records au niveau européen et par Ska in The World au Japon, compte une collaboration de luxe avec: la participation exceptionnelle des jamaïcains The Pioneers (Jackie Robinson et Georges Dekker), des français A. S.P.O et de l’allemand DrRINGDING. Un disque enregistré en analogique, avec des instruments d’époque en continuant sur la lignée du premier, mais cette fois, en comptant sur la collaboration d’un orchestre formé de plus de 20 musiciens qui participent à plusieurs titres du disque. En conclusion… Un disque pour danser, à écouter, qui renvoie à l’époque où le Ska, le Rocksteady, l’Early Reggae ou la Soul étaient la musique phare du moment.
Transmonde Sound System
Un set d’1h ElectroWorld, qui introduit une vision du monde au moment donnée, perpétue une démarche et invite la société à s’interroger sur les rapports quelle entretien au monde. 1H de Mix qui introduit des moments de discours d’homme politique, de Rebel, de moment de vie, de moment important pour une société en lutte. Culture en Résistance !! Ce que veulent les gens Ce que les gens vivent, Des corps soumis membres tremblants De l’ordre établie Aux sourires A la vivacité du mouvement A l’appel d’air A la main de fer Ce que les gens vivent Ce n’est pas la vie Les envies se mélangent Aux pensés simples Le rythme s’accélère L’or à un nom Ce que les gens vivent Ça se coupe en trois en deux Pour des raccourcissements A l’assainissement @DJ Narcollection